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Okinawa Rush est
un jeu vidéo d’action/plate-forme développé par le studio Sokaikan et édité par
PixelHeart. Il a été financé via Kickstarter en 2017 ou 472 contributeurs ont
permis de rassembler 10 745£ pour financer le jeu, qui est finalement
sorti en octobre 2021.
C’est un Beat’Em
Allen 2D qui n’est pas sans rappeler Street Fighter ou encore Streets of Rage
(il s’en passe des choses dans la rue…).
Le jeu met en
scène trois protagonistes, pratiquant chacun un art martial différents :
le karaté pour Hiro, le kung fu shaolin pour Shin et bien entendu le wing chun
(d’où cet article) et le tai chi pour Meilin.
Nos héros
devront affronter le clan Black Mantis à travers cinq niveaux entrecoupés de cinématiques
en pixel-art. Le style est assez old school mais ça se prête bien à ce type de
jeu et moi j’aime bien. L’histoire suit une trame générale mais chacun des
trois personnages a des objectifs différents et le jeu comporte plusieurs fins,
de quoi allonger sa durée de vie. Le jeu n’est cependant pas très long et se
termine en quelques heures, une dizaine pour tout débloquer.
Visuellement,
c’est beau, à condition d’aimer le pixel-art bien entendu. Les environnements
sont divers et offrent une belle ambiance pour ce que j’ai pu en juger à
travers les captures d’écrans et les vidéos sur le jeu. Comprenez par là que je
n’y ai pas joué.
Point positif,
les personnages sont doublés, que ce soit lors des combats où on peut les
entendre s’exprimer ou lors des cinématiques. Ce n’est pas le cas de tous les
jeux, donc soulignons-le. Malheureusement le doublage n’est qu’en anglais, mais il y
a des sous-titres.
Le style de
combat des personnages est aisément reconnaissable avec par exemple pour Meilin
les coups de poings enchaînés du wing chun, mais pas uniquement puisqu’on la
voit également utiliser le bong sau par exemple. Petit bémol, lorsqu’elle
utilise le bâton long, elle ne le tient pas comme en wing chun, mais comme elle
utilise d’autres armes, comme le nunchaku, et qu’elle connait au moins un autre
art martial, pourquoi pas.
L’histoire de Meilin commence ainsi : elle voit
son père brandir un cristal. Il semble possédé. La jeune fille fuit et retourne
dans sa chambre se mettre au lit. Tout autour d’elle, de la fumée. En réalité
elle est endormie dans sa chambre sur un bateau (une jonque rouge ?) et il
y a le feu à côté d’elle. Soudain une explosion et elle est propulsée dans les
eaux. Elle flotte à la dérive et reprend connaissance sur une plage. Le premier
niveau commence.
Meilin fuyant son père possédé
Le mode histoire
comporte également un mode coopératif pour jouer à deux, ce qui est plutôt
chouette. Outre ce mode, le jeu comporte un mode survie et un mode arcade. Ce
dernier étant proche du mode histoire, les tutoriels et l’histoire en moins, en
gros on traverse les niveaux en bastonnant. Il y a également quelques mini-jeux
pour permettre aux personnages de s’entraîner dans la pratique de leurs katas avec
même un mannequin de bois entre autres choses !
Enfin, le jeu
comporte un marchand qui propose des amulettes pour augmenter ses statistiques,
mais aussi des objets qui viendront décorer le dojo/kwoon du personnage. C’est
le genre de détails que j’aime bien, comme la chambre de Juste dans Castlevania:
Harmony of Dissonance. Selon la façon dont est décoré le dojo/kwoon du
personnage, il peut recevoir un bonus de feng shui, qui boostera une
caractéristique donnée.
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