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“Grandmaster
#1 espoir pour le futur” est une bande dessinée sortie le 24 mars 2004 chez
Soleil, dans la collection Soleil Levant.
Derrière cet
ouvrage on trouve Sifu Didier Beddar au scénario et Naïts également au
scénario, mais aussi au dessin et à la couleur.
S’il y a un
numéro de tome, malheureusement la série s’est arrêtée là. Quelques années plus
tard le duo d’auteurs a été rejoint par Jean-Marc Gerard et ils nous ont livré
un reboot de la série en deux tomes : “L’opéra de la jonque rouge” et “Le
tournois des sept provinces”. Oui tournois avec un S.
J’espère faire
l’acquisition de ces deux tomes un jour afin de pouvoir les lires et vous en
parler ici sur ce blog.
Pour en
revenir à “Espoir pour le futur” voici ce que nous annonce le résumé :
Dans la Chine médiévale submergée par le chaos et dominée par les seigneurs de la guerre, quelle chance donneriez-vous à une jeune fille de seize ans dans un conflit avec le plus féroce d'entre eux ?Sûrement aucune !Apprenez cependant qu'une rumeur parle de son séjour dans un temple nommé... Shaolin.
En une
cinquantaine de pages on découvre le temple de shaolin
et on apprend qu’il a une part active dans la lutte contre les Qing. Une
nouvelle technique de combat est développée en secret entre ses murs. La
technique de combat n’a pas encore de nom mais est tout d’abord enseignée à une
jeune femme, Wing Chun.
C’est une
nonne du nom de Ng Mui qui enseigne à Wing Chun
afin qu’elle puisse affronter un prétendant un peu trop entreprenant. Par la
suite la jeune femme intègre le temple de shaolin, bénéficiant d’une
dérogation, n’étant pas une nonne.
Les cinq fondateurs légendaires du style wing chun
apparaissent dans la bande-dessinée, ainsi que le futur époux de Wing Chun :
Leung Bok Cho.
L’histoire s’arrête
à la destruction du temple de shaolin. On
observe d’ailleurs les libertés prises par les autours de cet ouvrage puisque
Wing Chun aurait appris de Ng Mui après la destruction du temple, ce qui n’est
pas le cas ici. De même, à ma connaissance, Leung Bok Cho n’était pas un moine.
Ces libertés ne m’ont cependant pas dérangé dans ma lecture, c’est une
réinterprétation d’une légende et ça passe très bien ainsi.
Graphiquement c’est
plutôt joli avec un détail qui m’a frappé : souvent les personnages
portent des couleurs similaires à l’arrière plan de la case dans laquelle ils
sont dépeints. Ainsi on passe de tons oranges à des tons bleus en passant par
le jaune et le blanc. C’est un parti pris graphique que j’ai trouvé très
chouette. Evidemment ça n’est pas le cas sur les planches
que j’ai pu trouver pour illustrer cet article…
Autre bon
point, à de nombreuses reprises des techniques de notre art martial
apparaissent, ce qui sans être surprenant est appréciable.
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