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En avril
dernier je vous parlais de “Grandmaster #1 Espoir pour le futur”, une
bande dessinée de Sifu Didier Beddar et Naïts. Aujourd’hui je vous parle de la
plus ou moins suite !
“Wing Chun
Tome 1 • L’opéra de la jonque rouge” est une bande dessinée parue le 4 novembre
2010 aux éditions Clair de Lune cette fois.
Nous
retrouvons bien entendu Sifu Didier Beddar au scénario et Naïts au dessin et à
la couleur. Ils sont rejoints par Jean-Marc Gérard au scénario.
Cette fois il
s’agit bel et bien d’un tome 1 puisque l’histoire a une suite : “Le
tournois des sept provinces” (oui, je sais pour le S).
En fait de
numéro 1, ce tome aurait pu avoir le numéro 2 puisqu’il s’agit de la suite
directe de “Grandmaster #1 Espoir pour le futur”.
Initialement
je pensais que ce tome et sa suite étaient un reboot de Grandmaster, mais il
n’en est rien. L’histoire se déroule après les évènements de Grandmaster.
Cependant cette bande dessinée peut être lu indépendamment puisqu’elle offre un
résumé suffisamment détaillé des évènements contés dans la bande dessinée de 2004.
Voici ce que
nous annonce la quatrième de couverture :
Jeune fille d’une grande beauté, Wing Chun fuit la répression Mandchou. Héritière des arts Shaolin, elle mènera la rébellion contre les troupes impériales. Histoire complète en deux tomes.
Après une
rapide introduction dans laquelle on retrouve Wing Chun et Leung Bok Cho, sur 4
pages on nous offre un résumé de Grandmaster. Puis l’histoire suit son cours.
Nous ne sommes donc vraiment pas dans un reboot, mais bien dans une véritable
suite comme je le disais plus haut !
Graphiquement
le style n’a pas trop évolué et c’est pas plus mal. Les dessins restent très
beaux, les personnages sont les mêmes, on est en terrain connu !
Le quota du
plan coquin est respecté, je me demande si on aura de nouveau droit aux seins
de Wing Chun dans le tome suivant…
Wing Chun,
avec l’appui de Ng Mui continue sa lutte contre l’envahisseur Mandchou. Quant à
Leung Bok Cho il préfère suivre sa propre voie, hanté par la mort de son
maître, Pak Mei.
Shi Yong,
l’antagoniste principal du premier tome est lui aussi de retour et se montre
toujours aussi impitoyable, mais cette fois il est accompagné de quatre
redoutables combattants étrangers.
L’Histoire est
encore plus libre que dans Grandmaster. Le but n’était sans doute pas d’offrir
une interprétation fidèle de la légende contée par Grand Maître Yip Man, mais
d’offrir un récit qui plairait à notre génération. Le choix d’intégrer au
scénario des combattants d’autres pays par exemple est une liberté mais offre
des scènes intéressantes.
L’incorporation
du Dim Mak au wing chun est également une liberté selon moi, mais Sifu William Cheung l’ayant intégré à son wing chun et Sifu Didier Beddar étant son élève,
il n’est pas surprenant de voir cet élément dans l’histoire.
J’ai passé un
bon moment au cours de la cinquantaine de pages que compte cette bande
dessinée. Mon seul regret est de ne pas posséder la suite afin de découvrir la
fin de l’histoire. Une fois encore la bande dessinée se clôture sur une scène dont
je veux connaître la suite !
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